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Éditeurs
Arabesques Editions
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Autour du monde en 25 escales, au gré de ses voyages, l'auteur développe son don de l'observation. Son souci de la précision l'encourage à tout noter et son talent d'écrivain le pousse à consigner ses impressions dans ces carnets de voyage.
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La bibliothèque Tunisienne, longtemps victime des égos surdimensionnés qui ont dominé et filtré à leur goût notre histoire actuelle et contemporaine, est en train de se débarrasser des oeillères qui lui ont été imposées.
De nombreux écrits voient le jour grâce à l'éclaircie « Démocratique» qui nous vivons depuis une dizaine d'années.
ARABESQUES s'est donné pour tâche de dépoussiérer ce passé occulté.
Le livre posthume de si Rachid TERRAS vient à point nommé pour illustrer de la plus belle manière cet engagement sans calcul ce développement total et cette prise de responsabilité à l'égard d'une ville blessée et d'un pays renaissant.
Rachid Terras, militant destourien, médecin et maire de Bizerte aux heures les plus difficiles nous livre ici un témoignage de premier ordre.
Moncef Chebbi
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Spectre d'Aigle, le jeune indien, rejette le masque de la tribu, lors du rituel de passage à l'âge adulte. Condamné à l'exil, il quitte son visage vers le mont des origines, pour demander la rédemption à l'ancêtre fondateur. Mais ce qu'il va découvrir va chambouler son existence et sa destinée.
A la fois récit d'aventure et expérience initiatique, ce conte empruntant) de multiples influences allant de la Fantasy à la philosophie nietzschéenne, confronte l'émergence de l'individualité et la création artistique aux codes de la tribu, à travers le thème de la sculpture.
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Derniers feuillets ou il était une fois... Hédia
Chahed Youssef
- Arabesques Editions
- 1 Février 2020
- 9789938072396
Après «Feuillets d'Enfance où La mémoire d'un Immigré», Youssef Chahed continue son parcours nostalgique avec ses «Derniers Feuillets où il était une fois Hedia» Ce récit touchant est un émouvant hommage à une femme qui l'accompagna le long de plus de trois décennies où elle fut une épouse aimante, une maîtresse de maison accomplie et une mère bienveillante.
Telle une réelle égérie, elle souffle à l'auteur différentes inspirations, achevées par la parution de cet ouvrage.
Même de l'au-delà, elle veille sur son mari en le guidant et l'orientant vers la procrée dans le domaine qu'elle ne connût pas de son vivant.
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On trouve tout dans ces poèmes : le quotidien et le sublime, les larmes et la jubilation, les délires de la chair et la passion de Dieu, pêle-mêle, comme dans la vie... Comme dans la nature l'arc-en-ciel, jaillissant et multiple...
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Le livre de Youssef Chahed est une bonne initiative. D'autant que l'Auteur, fils de l'île né en 1951 et installé en France depuis 1970, a tenté de dresser un portrait tendre et rude, d'une île qui baignait dans la tradition séculaire et la légende des Lotophages...
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Kmar Lyl, une comédienne de trente ans disparaît, une enquête est ouverte, et le personnel du ciné théâtre Laguma est interrogé...
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Bir el Abd se préparait pour la venue du gouverneur. La dernière fois qu'un officiel les avait honorés de sa visité remontait à plus de quinze ans, cette visite avait d'ailleurs été la seule depuis que le pays avait conquis son indépendance...Le gouverneur qu'ils attendaient avec impatience venait tout juste d'être nommé à son poste et on disait de lui qu'il était aussi jeune qu'enthousiaste, ce qui expliquait sans doute la tournée des villes et des villages de son gouvernorat inclue Bir el Abd...
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L'aventure d'un jeune tunisien qui, dans les années 70, quitte son pays pour l'incertain. Un regard est jeté sur l'immigration tunisienne de l'époque et celle qui l'a précédée. Une aventure qui ne manque pas de scènes anecdotiques et de mésaventures.
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Sarah Perrin pensait avoir déjà touché le fond. Kidnappée et sauvagement torturée, pendant cinq interminables semaines, elle est sauvée in extremis, de ses bourreaux tout droit sortis d'un cauchemar dantesque et irréel, par une mystérieuse inconnue. L'épreuve de son retour à la réalité s'avère dure et affligeante. Mais Sarah doit rapidement secouer sa torpeur pour affronter à nouveau son cauchemar. Elle fait alors face à une vérité simple et terrifiante ; et si le seul moyen d'y mettre un terme... était d'y replonger ? Sarah découvre alors que le fond qu'elle croyait avoir touché est encore bien loin.
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A Tunis, dans les années soixante, un enfant des faubourgs, pauvre, délaissé et exclu de l'école est d'abord tenté par la délinquance avant de découvrir la magie du mezoued et d'aller à la rencontre de sa vocation d'artiste mzewdi.
A travers le destin de ce personnage, tantôt hissé au sommet de la gloire par la pureté de son art, tantôt plongé dans l'abîme de l'alcoolisme et attiré par le monde de la prostitution, incapable de s'en sortir, comme happé par le fatalisme de son milieu social, l'auteur raconte la saga du mezoued dont le chant s'épanouit à travers l'exode paysan et les banlieues mi-rurales mi-urbaines qui se construisent autour de Tunis.
La ville est à l'image de son héros, illuminée par ses fêtes et assombrie par ses défaites.
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« La fonction cathartique de l'écriture n'est plus à démontrer, elle peut être une forme active de délivrance... En dépit de mon jeune âge, et donc de mon bref parcours, j'éprouve réellement le besoin de me jeter à l'eau, de m'exprimer tout simplement pour essayer d'y voir un peu plus clair en moi, pour tenter de dire avec des mots mon désarroi et mes émotions, pour évacuer, si possible, un trop-plein de sensations. Tout bien réfléchi, je n'ai aucune raison d'étouffer mes cris du coeur, de refouler cette petite musique que je sens monter des tréfonds de mon être...Il me faut absolument écrire tout ce qui gronde et hurle en moi... ». L'auteur se glisse dans la peau d'une jeune femme qui se livre et s'épanche sans fausse pudeur ni sensiblerie de mauvais aloi, dévoilant ses failles, ses petits secrets, ses « illusions lyriques » perdues.
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La clinique du jihad est une clinique plurielle dont laquelle se nouent l'individuel et le social. La radicalisation de chacun vient se loger dans un vécu historico-politique commun et vient chercher refuge dans une matrice sociale, comme pour s'enraciner ou se ré-enraciner dans le ciel, à défaut de le pouvoir sur terre. Une clinique des origines ? mais quelle origine ? De quel déracinement s'agit-il ? géographique, religieux, intergénérationnel, social ? Remonter jusqu'au prophète, ça n'est pas tâche facile mais c'est ce qu'impose la radicalisation. De trauma certes il s'agit. Ceux vécus à l'échelle collective qui résonnent certainement inconsciemment avec ceux vécus à l'échelle individuelle.
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Le soleil se lève toujours en Orient
Chema Ben chaabene
- Arabesques Editions
- 1 Février 2019
- 9789938073560
Le soleil se lève toujours en orient est le premier recueil poésie de Chema Ben Chabaane.
Une écriture de liberté, un voyage sans fin en Orient et ailleurs, dans les contrées de l'âme même, qui vous mène au plus près du paraître et de l'être. Une présence, qui n'est pas une, du monde sensible, une sensualité suggèrée qui s'immisce, pour ainsi dire, dans les fragments d'un récit où se mêlent histoires, images et musique...
Un récit au ton désinvolte, quelque peu désenchanté, comme s'il ne faisait qu'effectuer ce monde, qu'ouvrir, mais à peine, des portes.
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Des champs étendus à perte de vue me reppellent ma tendre et douce enfance Je revois la maison où j'ai vécu Quel bonheur d'évoquer cette existence où nos jeux se faisaient dans l'insouciance à l'ombre des vignes et des figuiers ..
Je revois maman préparant du pain comme si elle était encore là Je sens encore l'odeur de son pain qu'elle sortait du four pour notre joie de le manger chaud et appétissant
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Comment font ceux qui s'aiment quand des barrières religieuses, sociales, ou ethniques voudraient les séparer ? Comment fait-on pour traverser la frontière entre présence et absence, entre vieillesse et modernité ? Peut-on, dans un élan pour aller vers l'autre, s'affranchir de la solitude intérieure que la vie, parfois, nous impose ?
Les nouvelles de ce recueil racontent des histoires, d'époques et de pays différents, où sont abordées ces questions.
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Traiter de l'histoire du vivant pourrait être de l'ordre du métaphysique, du théologique ou du scientifique. Une présence quasi permanente des trois registres explicatifs n'est pas sans conséquence sur la manière de traiter le vivant du point de vue son origine, sa diversité et son histoire. Cette présence devient de plus en plus problématique du fait qu'en dépit du caractère de question socialement vive (Simonneaux & Albe, 2002) que certains didacticiens lui attribuent, et de son appartenance à un type de savoir qualifié de « chaud » (Astolfi, 2005), l'évolution biologique ne peut être exclue de l'enseignement des Sciences de la vie et de la Terre (SVT). Mieux encore, ce dernier dépendrait des apports de l'évolution biologique, dont l'importance par rapport à la Biologie a été initiée depuis 1973 par Theodosius Dobzhanski dans son article « Rien en biologie n'a de sens, si ce n'est à la lumière de l'évolution ». Ce rôle est rappelé par Coquidé et Tirard (2008) par un détournement de ce titre, estimant que « Rien dans l'enseignement de la biologie n'a de sens, si ce n'est à la lumière de l'évolution » (p. 7).
Cependant, être en mesure d'élaborer une proposition qui serait d'un meilleur apport didactique dans le traitement de l'évolution biologique ne pourrait se faire qu'à la lumière d'une identification de ce qui lui vaut les caractères de question « vive » et de savoir « chaud ». Nous proposons de croiser « formes fondamentales des relations pouvoir-savoir » (Foucault, 2001a) et notion de « dispositif » (Foucault, 2001c) développées par Michel Foucault, et « triplet de la saveur des savoirs » (p. 163) formulé par Astolfi (2008), en vue de construire un cadre théorique explicatif à potentialité propositionnelle. L'explication serait possible par l'identification d'assujettissements auxquels le traitement de l'histoire du vivant serait soumis, et ce, en approchant la question de l'évolution biologique en termes de formes fondamentales des relations pouvoir-savoir. Les choix propositionnels en découleraient tout en se basant sur les trois principes du triplet emprunté à Astolfi (2008).
L'expérimentation est conduite auprès de trois groupes-classes de lycéens tunisiens passant l'examen du baccalauréat en fin d'année scolaire et appartenant à des milieux sociaux différents.
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À Sousse, une femme est perdue entre un triste passé, un présent insipide et un avenir bien sombre.
Frappée par la disparition tragique de son enfant, Asma navigue dans une vie qui n'a plus aucun sens, ni aucune importance, pour elle. Saisira-t-elle la chance inconcevable qui lui est accordée de changer son passé ? Peut-elle réellement changer son Destin ?